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Covid-19 : les dernières mesures

Cette page vous renseigne les dernières mesures liées à la crise qui impactent directement les personnes avec un handicap intellectuel et leurs proches.

Au Fédéral

 

En Fédération Wallonie-Bruxelles 

Enseignement : 

Services résidentiels et d’hébergement :

 

À Bruxelles

Centres d’hébergement et centres de jour :

En Wallonie 

Généralités : 

Services d’accueil de jour pour adultes (SAJA) : 

Services d’aide en milieu de vie, services de soutien dans l’emploi et services de logements supervisés (SLS) :

Services résidentiels pour adultes (SRA) : 

Soutien aux résidents des services agréés partiellement subventionnés

Nous avons dernièrement pris connaissance de la démarche initiée par le « Collectif SAPS » et de leur interpellation du 23 juin dernier concernant les difficultés financières rencontrées par les services partiellement subventionnés (SAPS).

Nos associations (Altéo, ASPH, APEPA, AP³ et Inclusion asbl) ont donc écrit un courrier à Madame Christie Morreale, Ministre de l’Action sociale et de l’Égalité des chances en Fédération Wallonie-Bruxelles, pour réaffirmer notre inquiétude concernant les répercussions du système de financement actuel sur l’égalité de traitement des usagers.

Nos associations n’ont aucunement l’ambition de se substituer aux fédérations (qui relaieront bien mieux que nous les besoins de ces services) mais, en tant qu’associations représentatives des personnes en situation de handicap, nous estimions qu’il était de notre devoir de relayer la situation.

 

Covid-19 : télétravail jusqu’au 20 novembre

Chers membres, sympathisants et amis,

À la suite des décisions prises par les autorités belges, l’équipe d’Inclusion asbl fait actuellement du télétravail. Vous pouvez joindre les membres du personnel par courrier électronique ou via leur GSM professionnel. Toutes les coordonnées sont accessibles via l’onglet « Notre équipe » du site internet.

En cas de besoin, n’hésitez pas à contacter notre service social et psycho-social.

Prenez soin de vous et des autres,

L’équipe d’Inclusion asbl

Espaces d’échanges pour parents et proches

L’objectif de ces « Espaces d’échange » est de permettre aux parents et proches de personnes en situation de handicap intellectuel de se retrouver à distance le temps d’1h pour discuter de leur vécu quotidien, de pouvoir échanger des pistes de bonnes pratiques, des bons plans, mais surtout se soutenir et ne pas se sentir seul dans cette période chamboulée.

Les séances seront animées par un binôme de l’équipe d’Inclusion avec une assistante sociale et un membre de l’équipe d’animation. C’est ouvert à tous les parents et proches ! Les rencontres se feront via Zoom.

  • 22/02 de 10h à 11h
  • 22/04 de 20h à 21h
  • 15/06 de 10h à 11h
  • 20/10 de 18h à 19h

Plus d’infos et inscriptions >> eca@inclusion-asbl.be

Rencontre avec Caroline Désir : nos priorités

Ce 19 octobre, notre association – avec d’autres – a rencontré Caroline Désir, Ministre de l’Enseignement en Fédération Wallonie-Bruxelles, afin d’aborder la suppression de l’intégration temporaire totale (ITT) et la mise en place des futurs pôles territoriaux.

Nos priorités :

  • Décaler le calendrier de suppression de l’ITT

Le dispositif des pôles territoriaux ne sera assurément pas totalement mis en place pour la rentrée 2021. Afin d’assurer la continuité de l’ensemble des projets d’intégration en cours ainsi que la mise en place de nouveaux projets d’intégration durant la période transitoire, il est indispensable que la suppression du dispositif des ITT n’intervienne que lorsque les pôles seront pleinement opérationnels. Dans l’incertitude, de nombreuses écoles ont déjà refusé le développement de nouveaux projets d’intégration pour l’année 2020-2021. Les effets se font donc déjà clairement ressentir et vont s’accentuer dans les années à venir.

Des pôles territoriaux en mesure de soutenir TOUS les élèves, quels que soient leurs besoins

Les pôles devront permettre de répondre à tous les besoins, qu’ils soient moteurs, sensoriels et/ou intellectuels. Bien que des dispositifs d’intégration alternatifs soient maintenus (IPT, classes à visée inclusive), ils ne répondent pas suffisamment aux obligations en matière d’inclusion et ne peuvent être qu’une solution résiduaire lorsque les autres dispositifs n’ont pas pu permettre le développement d’un projet inclusif satisfaisant pour l’élève.

  • L’IPT implique un passage obligé d’au moins un an dans l’enseignement spécialisé. (Qui va déterminer a priori si un élève relève de la compétence des pôles ou de l’enseignement spécialisé ?). L’expérience montre qu’une fois que les élèves sont engagés dans un parcours scolaire dans l’enseignement spécialisé, le passage vers l’enseignement ordinaire est extrêmement compliqué, voire impossible. Par ailleurs, un passage par le spécialisé ne présente aucun intérêt pour l’enfant ;
  • Les classes à visée inclusive constituent une des réponses à certains besoins mais elles ne doivent pas être l’unique moyen d’envisager l’ « inclusion » des élèves avec des besoins d’accompagnement plus importants (déficience intellectuelle, troubles du comportement, notamment)

Représentation des enfants en situation de handicap dans les discussions

Enfin, les élèves en situation de handicap doivent être valablement représentés et concertés dans les discussions portant sur la création des dispositifs prévus dans le cadre du pacte pour un enseignement d’excellence.

Politique : enfin un gouvernement fédéral !

Dès que les différents Cabinets ministériels seront formés, Inclusion asbl entamera, avec ses partenaires, une tournée auprès des différents ministres ayant des compétences clefs en matière de handicap afin de leur présenter nos priorités pour la législature à venir. Rappelons-les rapidement :

Rien sur nous sans nous !

C’est la base. Les décisions qui concernent les personnes en situation de handicap doivent être prises en concertation étroite avec le Conseil Supérieur National des Personnes Handicapées (CSNPH). Inclusion asbl y occupe un siège et y représente les personnes en situation de handicap intellectuel. Nous aurons sans aucun doute l’occasion d’y rencontrer rapidement la Ministre en charge des personnes en situation de handicap, Karin Lalieux (PS).

Un niveau de vie adéquat

Le risque de tomber dans la pauvreté pour les personnes en situation de handicap est plus élevé que pour le reste de la population. Par ailleurs, une part importante de la population vivant avec un handicap ne fait pas appel aux aides existantes, souvent parce qu’elle en ignore l’existence. Nous apportons donc une attention particulière :

  • au maintien des revenus des personnes avec un handicap intellectuel ;
  • à l’augmentation, au-dessus du seuil de pauvreté, des allocations de remplacement de revenus et d’insertion ;
  • à une plus grande automatisation des droits afin que chaque personne se voie accorder les aides dont elle peut bénéficier ;
  • à l’amélioration du délai de traitement des dossiers au Service Public Fédéral – Direction générale Personnes handicapées (SPF-DGPH).

Une protection juridique sur-mesure et une administration de qualité

Nous attendons avec beaucoup d’impatience une réforme sur l’administration avec, notamment :

  • la mise en place d’un cursus de formation obligatoire pour tous les administrateurs ;
  • la mise en place d’une commission disciplinaire afin de contrôler au mieux les dérives dans certains dossiers d’administration des biens.

Une attention particulière devra également être apportée au maintien du droit de vote des personnes ayant une administration de la personne.

Nous interpellerons rapidement le Ministre Vincent Van Quickenborne (Open vld) sur ces questions.

Remboursement de la logopédie pour les enfants avec un QI inférieur à 86

C’est une demande qui remonte à de nombreuses années et ayant fait l’objet de recommandations à l’ex-Ministre de la santé, Maggie De Block. Les enfants atteints d’un trouble de développement du langage, quelle qu’en soit l’origine, n’entrent dans aucune autre catégorie de troubles contenue dans la nomenclature. Il en résulte que ces enfants, lorsqu’ils ont un quotient intellectuel inférieur à 86, sont purement et simplement exclus du remboursement des prestations de logopédie dans le cadre de l’assurance obligatoire.

Nous interpellerons rapidement le nouveau Ministre de la Santé, Franck Vandenbroucke (sp.a) sur la question même si il y a fort à parier qu’il aura beaucoup à faire avec la gestion de l’épidémie.

Retrouvez nos revendications détaillées dans notre mémorandum politique 2018 – 2024.

Livret médical T21 18+

Les objectifs de ce livret sont d’accompagner l’adulte avec une Trisomie 21
dans son parcours de soin et de le sensibiliser, tout comme son entourage, aux spécificités médicales inhérentes au syndrome.

“Est-ce que c’est difficile de voir de loin ou de près ?”
“Bien entendre c’est important pour comprendre les autres.”

Dans la première partie, des textes illustrés faciles à lire et à comprendre
encouragent et aident la personne à prendre soin de sa santé.

La deuxième partie est un recueil des enjeux spécifiques relatifs à la santé des adultes avec une trisomie 21.

Des tableaux récapitulatifs exposent les prévalences constatées à certaines maladies
et suggèrent un planning de suivi médical adapté au syndrome.

Ce livret a d’abord été édité en néerlandais par l’Hôpital Universitaire d’Anvers (UZA) et est donc le fruit d’une collaboration avec l’association néerlandophone Downsyndroom Vlaanderen.

Le livret est gratuit pour les membres d’Inclusion asbl, les jeunes avec une Trisomie 21 et les médecins.
Il est également disponible à l’achat au prix de 5 €  (+ 3 € de frais d’envoi) via down@inclusion-asbl.be.

Covid-19 : les modalités des retours en institution / à la maison

UPDATE (22/06) : les derniers jours ont été particulièrement difficiles pour les personnes avec un handicap. Les mesures prises par le CNS et les consignes édictées aux institutions wallonnes dans la foulée ne permettaient pas un retour en famille / en institution facilité : mesures pas assez claires (distanciation sociale ? port du masque ? les deux ?), difficilement applicables (distanciation dans les véhicules de transport), etc. Ces éléments mettaient encore une fois en avant la différence de traitement entre les personnes avec un handicap intellectuel et le reste de la population, invité à se déconfiner de manière plus large.

Le ministère wallon de la Santé a donc publié une nouvelle circulaire précisant que « les modalités relatives aux adultes en situation de handicap vivant en collectivité doivent, à l’instar des règles applicables à l’ensemble de la population, leur permettre de reprendre des activités dans les conditions autorisées et évoluer, dans le respect de ces conditions, vers un « retour à la normale ». Aussi, les services résidentiels pour adultes et les services d’accueil de jour pour adultes doivent donc, à dater de la présente circulaire, prendre des dispositions significatives de déconfinement, avec, comme pierre angulaire, les obligations aujourd’hui applicables à la population générale« .

Retrouvez également les dernières consignes (13/06) du service Phare pour Bruxelles.

UPDATE (04/06) : suite à la publication par le ministère de la Santé wallon d’une circulaire précisant les modalités de déconfinement dans les institutions / familles accueillant une personne avec un handicap, notre association a mis en avant la nécessité de concerter et entendre les associations représentatives du secteur afin que ces modalités prennent en compte les multiples spécificités de notre public, qui doit bénéficier des mêmes droits que n’importe quel citoyen.

Cette mise en garde a été entendue par la Ministre, qui a publié une nouvelle circulaire allant dans ce sens : « dès lors que les règles de déconfinement s’adressent à l’ensemble de la population, il est indispensable de prendre sans délai des mesures organisationnelles qui garantissent les mêmes droits et les mêmes règles aux personnes en situation de handicap. »

Consultez la circulaire complémentaire du 04 juin dans son intégralité.

Depuis le début de la crise, notre association – avec d’autres – relaye vos cris d’alarme, vos préoccupations et vos demandes liées à la crise du coronavirus et ses conséquences. Et nous commençons à être entendus : le cabinet de la ministre wallonne de la Santé, Christie Morreale, vient de publier une circulaire explicitant les mesures et modalités liées au déconfinement dans les services résidentiels et d’hébergement pour les personnes avec un handicap.

La circulaire autorise désormais les retours en famille, les retours en institution et les activités extérieures.

Ceux-ci sont permis pour – idéalement – 7 jours minimum. Les retours d’un week-end restent déconseillés d’un point de vue sanitaire mais la circulaire laisse cependant apparaître une certaine souplesse en fonction des situations. Les nouvelles admissions et les retours post-confinement sont aussi possibles, via le respect d’un protocole (attestation sur l’honneur, test PCR et surveillance d’éventuels symptômes).

Si les retours en famille / en institution sont salutaires, la période de 7 jours minimum qu’ils devront couvrir pourrait être un frein dans beaucoup de situations : perte de repères pour les personnes avec un handicap habituées à un retour d’un week-end en famille, impossibilité pour certains aidants de prendre leur proche avec un handicap en charge pendant un trop long laps de temps, obligation de soins réguliers qui risqueront de ne pas être prodigués de manière optimale…

Notre association insiste donc sur l’importance de la formulation « idéalement, cette période devra couvrir minimum 7 jours » afin que les situations précitées ne soient pas impactées par un règlement trop strict. Nous appelons les services à faire preuve de souplesse, à analyser les situations au cas par cas pour permettre à chacun de retrouver ses proches, sans que personne ne soit oublié.

Inclusion asbl épaulera toutes les familles en demande rencontrant des difficultés concernant l’application de ces mesures.

Covid-19 et enseignement : l’arrêt des cours = l’arrêt du suivi thérapeutique et paramédical

Pour les élèves qui fréquentent l’enseignement spécialisé mais aussi pour beaucoup en inclusion scolaire, l’arrêt des cours ne signifie pas seulement l’arrêt des apprentissages pédagogiques mais aussi, bien souvent, celui du suivi thérapeutique et/ou paramédical (kinésithérapie, logopédie, psy, etc.).  La circulaire 7757 du 29 avril 2020 adressée aux établissements d’enseignement spécialisé ne permet pas de lever les inquiétudes des parents concernant le suivi et le maintien des acquis de leurs enfants.

En effet, malgré les consignes adressées aux écoles en vue d’une reprise partielle des activités, nous pouvons raisonnablement affirmer qu’avant la rentrée scolaire le suivi par les établissements ne reviendra pas à un niveau normal, loin s’en faut. Il faudra également tenir compte des enfants dits « à risque » : leur santé plus fragile ne leur permettra pas de reprendre rapidement le chemin de l’école.

Pour beaucoup d’élèves, l’école est aussi le lieu de la réadaptation. Même si les établissements doivent rester ouverts pour assurer l’accueil de certains enfants, le suivi thérapeutique et paramédical est, dans les faits, à l’arrêt. Il en va de même pour celui effectué dans les centres de réadaptation ambulatoire (CRA), auxquels certaines écoles spécialisées sont « adossées ». Dans ce contexte, qu’advient-il du suivi effectif de ces élèves ?

 Il y a fort à craindre que, pour ces élèves, il y ait un gap d’au moins six mois dans leur suivi. C’est énorme pour de jeunes enfants en plein développement et nécessitant souvent un accompagnement intensif et rapproché 

Il faut aussi savoir que certaines prestations – comme la kinésithérapie ou la logopédie – ne sont pas remboursées par l’INAMI pour certains publics (autisme, déficience intellectuelle) au motif qu’elles ont lieu dans les CRA ou dans les écoles d’enseignement spécialisé. Cela signifie concrètement que le suivi hors des structures spécialisées est à charge financière des familles. Si cet argument était déjà largement critiquable avant la crise du Covid-19, il l’est encore plus aujourd’hui dans le contexte actuel.

Plusieurs questions nous semblent donc fondamentales :

  • quelles solutions ont été envisagées en Fédération Wallonie-Bruxelles pour répondre à ces besoins de suivi essentiels et urgents ?
  • quel serait le plan prévu si la rentrée de septembre devait encore être postposée ou qu’un nouveau confinement devait avoir lieu ?
  • qui payera si les familles font appel à des prestataires indépendants afin de garantir à leurs enfants le meilleur suivi ?

Par ailleurs, le suivi pédagogique des élèves par les écoles (spécialisées et ordinaires) a été très faible durant la crise, voire inexistant. Nous comprenons bien que la situation a été difficile à gérer mais de nombreux parents se sont sentis, et se sentent toujours, oubliés par la structure scolaire de leur enfant alors qu’ils vivent souvent eux-mêmes des situations familiales complexes, devant souvent jongler entre le travail à domicile et le suivi d’un enfant à besoins spécifiques. L’enseignement, à n’en pas douter, fait partie des métiers essentiels qui doivent rester sur le pont pour ne pas perdre de vue leurs élèves, a fortiori lorsque ceux-ci ont des besoins importants de soutien.

Les familles sont donc légitimement en attente de réponses concrètes pour que leurs enfants puissent évoluer au mieux malgré la période difficile que nous traversons.

Nous demandons à Madame la ministre de l’Éducation :

  • de s’assurer que le suivi des enfants puisse se faire dans les meilleures conditions – indépendamment des moyens financiers dont les familles disposent – en encourageant les écoles et leurs équipes pédagogiques à reprendre des activités répondant aux demandes de soutien des élèves et de leurs parents ;
  • d’assurer un suivi thérapeutique au sein des écoles (ou à distance lorsque cela est possible) ;
  • de rembourser le suivi organisé par les familles lorsqu’il n’est pas organisé par l’école ;
  • d’assurer la coordination des différents niveaux de pouvoir afin de faire travailler ensemble le fédéral (remboursement des soins à l’INAMI), les régions (fonctionnement des CRA) et l’enseignement (FWB) ;
  • la mise en place d’un plan « enseignement à distance » pour permettre un suivi plus effectif des élèves à domicile ;
  • de permettre de la souplesse et de prévoir des aménagements en ce qui concerne le port obligatoire du masque, certains élèves ne pouvant les supporter ;
  • de prendre en considération tous les élèves qui ne pourront pas reprendre le chemin de l’école pour des raisons de santé plus fragile, notamment. Ces élèves ne doivent certainement pas être oubliés.

Plus d’infos :
> Thomas DABEUX, secrétaire politique d’Inclusion asbl
> 0494/84.29.78
> tda@inclusion-asbl.be

Téléchargez le communiqué de presse en PDF en suivant ce lien.

Témoignage : 

Cette maman, en télétravail depuis le début du confinement, s’inquiète du manque de suivi apporté à son fils

« Mon fils est dans une école spécialisée de type 2. L’école a fermé ses portes au début du confinement pour tous les élèves sauf pour ceux dont les parents étaient en première ligne de gestion de la crise du covid-19. Il y avait également la possibilité d’amener l’enfant sur place (mais sans transport scolaire) si aucune autre solution n’était possible. En deux mois, nous avons reçus 2 emails : un premier de l’école renvoyant vers un site internet d’activités à faire pendant le confinement et un autre de la logopède avec des indications renvoyant vers des plateformes internet et des vidéos sur Facebook.

Il est extrêmement compliqué pour mon fils d’accrocher à ce soutien non personnalisé. Malgré des demandes répétées, aucune vidéo-conférence n’a pu être établie, ni avec les profs, ni avec les thérapeutes. »

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